C’est encore arrivé : votre beau Linux chéri a merdé. Il faut dire que c’est de votre faute : vouloir essayer des modes graphiques exotiques et expérimentaux n’est pas une bonne idée, alors que tout le monde peut très bien se contenter d’une bonne vieille console en VESA 80×25. Bah, ce sont des choses qui arrivent, après tout. Sauf que maintenant, impossible de redémarrer, vous ne pouvez plus rien taper, et l’interface réseau ne fonctionne pas… Le reset violent est la toute dernière solution. Toute ? Non. Une petite fonction du noyau résiste encore à la corruption du système de fichiers. Elle se nomme : Magic SysReq.
Linux
Ad-hoc sous Linux
« Mille million de mille sabords ! Où elle est la touche Éniki ? » Ha non, c’est pas ça, pardon. Le but de cet article est de vous décrire très rapidement le fonctionnement d’un réseau wifi ad-hoc sous Linux. Pour rappel, un réseau ad-hoc est un réseau décentralisé entre ordinateurs (deux ou plusieurs), à l’inverse du mode infrastructure, qui dispose d’un point d’accès central. Le réseau ad-hoc est donc parfait pour mettre en place très rapidement un petit réseau wifi entre quelques machines. Son inconvénient est cependant la vitesse de connexion, limitée à 11 Mbps.
SNAT versus Masquerade
Certains d’entre vous ont sans doute utilisé la règle « MASQUERADE » d’iptables dans toutes leurs mises en places de passerelles réseau, pour faire du NAT (Network Address Translation). C’est mon cas, étant donné que j’ai vu cette règle depuis maintenant plusieurs années un peu partout, que ce soit dans les blogs, les forums, ou tout simplement par défaut dans les distributions Linux. Cependant, dans bien des cas, le SNAT fonctionne aussi, et même mieux… Mais quelle est la différence ?